No One Likes The Lies

Quand vous aurez lu ça, plus personne ne pourra plus dire que je suis une personne chanceuse. Vous le croyez ? Eh bien vous avez tord ! Il est vrai que je ne parle jamais de mon histoire d’ailleurs personne ne me connais vraiment. Riche héritière d’une grande famille d’aristocrate ? Raté ! Petit française sans famille ? Ah presque ... Bon fini de plaisanter, voici ma véritable histoire.

On m’a toujours raconté que la raison pour laquelle j’étais en orphelinat était que mes parents n’avaient jamais voulue de moi. Bien sur, les parents que l’on m’avait inventé, n’avaient jamais voulue d’une petite fille comme moi. Mais mes vrais parents n’ont jamais voulue se séparer de moi !
Bon je vais expliquer exactement comment ça s’est passé pour moi. J’étais une petite fille née en France d’une mère droguée et d’un père inconnu. L’orphelinat m’avait recueillie avec beaucoup de plaisir, moi avec beaucoup moins de plaisir qu’eux. Je m’appelais à ce moment-là Katharina sans-nom. Personne ne voulait d’une fille ayant eu des parents drogués de peur que je devienne comme eux sans doute. En faite je commençais vraiment à désespéré, j’avais 7 ans et personne ne voulait encore de moi. La directrice avait bien voulue munir l’orphelinat d’un piano pour moi car il fallait bien que je m’intéresse à quelque chose. Il s’est avéré que jouer de la musique était d’une véritable simplicité pour moi comme chanter, j’adorais chanter. Bien que tout cela soit encore véritablement du travaille de débutants, il était sur que j’avais un talent certains. La directrice avait donc décidé d’utiliser ça quand elle me présenterait à de nouveaux parents.
Un jour où une autre famille était là, leur petit garçon était venu me voir. Il avait 2 ans de plus que moi et il était passionné de musique comme moi. J’avais entendu la mère du jeune garçon dire au père en nous voyant tout les deux au piano : « Nous ne l’avons jamais revu devant un piano depuis que sa sœur nous a été enlevé ». J’avais cru rêver, grâce à la pitié de ce petit William de me voir seule devant le piano, ma vie allait changer. J’avais compris l’histoire de leur famille, en vérité nous aurions du être quatre enfants mais le plus grande était mort-née et la troisième après William avait été enlevée alors qu’elle n’avait que 3 ans. Je n’avais pas l’intention de remplacer sa sœur non je ne voulais pas la remplacer, je voulais plutôt être un plus pour leur famille. Jusqu’à mes 14 ans j’avais vécu la plus belle vie, mon frère et moi étions les meilleurs joueurs de guitare et on délirait tout le temps. Le seul point négatif que je pouvais voir c’était l’amitié de mon frère pour le pire coincé du coin. Il était vraiment beau mais aussi vraiment timide, je n’avais jamais vu ça. Moi mes parents me disaient tout le temps de me taire car je parlais tout le temps mais lui était vraiment le gars parfait qui ne parlait jamais. Mais mon Dieu, qu’est ce qu’il était beau ! Un jour, le matin de mes 15 ans à vrai dire, j’étais allé chercher un petit déjeuner digne des plus grands pour ma petite famille. J’avais vite atterris dans une crêperie. Là quand j’étais entré dans cette boutique c’est là que j’ai reconnue le serveur, l’amour de ma vie (enfin je ne le savais pas encore). Tom, le meilleur ami coincé de mon frère, était là. Il n’était pas du tout comme chez moi, il était souriant et déconnant avec les clients. Là, il m’avait vu et était redevenu le garçon que je connaissais, c’est à ce moment-là que j’ai compris pourquoi il était comme ça quand il était chez moi. C’était sa pause et on avait passé la matinée à parler, j’avais carrément oublié ma petite famille. Tom se montrait sous un autre jour. Je ne l’avais jamais vu aussi expressif. Enfin j’avais alimenté toute la conversation et lui c’était contenté de répondre quelque fois. Ensuite il avait dit : «Tu parle trop ...». Et j’étais repartie à m’expliquer du pourquoi du comment. Je n’avais pas eu le temps de finir, même pas eu le temps d’anticipé son acte. Les lèvres de Tom se retrouvèrent sur les miennes. J’étais carrément surprise mais Tom était un peu comme le prince charmant que toute les filles rêve d’avoir, je n’avais pas hésité longtemps.
Je ne vous ai jamais expliqué d’où me venait le surnom de Kara. En faite, quand Tom et moi étions seuls il avait prit l’habitude de m’appeler Kara. Il disait que c’était pour lui une façon de savoir par ce surnom ce que je représentais pour lui et la place particulière qu’il avait dans mon cœur. Il n’y avait que lui qui connaissait ce pseudonyme.

Bon on fait une pause, pur l’instant ma vie est parfaite mais si je vous dis que tout s’est écroulé en une seule journée et par ma faute, vous me croyez ? Non ! J’en étais sur. Eh bien voilà la suite de mon histoire.

Tom et moi vivions la plus belle histoire d’amour à rendre jaloux n’importe qu’elle couple mais cela ne me suffisait sans doute pas. Je m’étais mise à fumer de mauvaises substances de façon permanente. J’étais sans cesse pétée mais personne ne le remarquait car j’avais toujours été un peu fofolle. Un jour, en allant en cour, j’avais laissé une cigarette allumée dans ma chambre. Ce jour-là j’étais la seule à travaillé. Tom avait passé la nuit à la maison car avec Willy, ils avaient cherché un tas de fac où s’inscrire. La journée c’était bien passé j’avais encore eu une bonne note (j’avais toujours des bonnes notes à vrai dire). Tom et William avaient promis de venir me chercher quand la journée serait terminée mais au lieu des deux hommes que j’aimais le plus au monde je vis deux agents de police devant mon lycée. J’avais peur ; ils m’avaient dit de ne pas m’inquiété, que tout allait bien se passer sauf quand arrivant devant chez moi. Tout avait brûlé, la maison, mes parents, mon frère et mon amour. C’est là qu’on m’a dit « C’est un accident le feu à commencé dans la chambre du dernier étage ». Je me suis arrêté de faire des bêtises du jour au lendemain car la chambre du dernier étage était la mienne. Mon univers était mort à cause de moi. Je ne savais pas quoi faire, j’étais à la rue. Je n’étais pas la fille de sang des Parker, donc aucun héritage pour moi. De toute façon je n’accepterais jamais l’héritage de la famille qui m’avait accueillie et que j’avais tué. On m’avait quand même donné les papiers de mes parents qui avaient survécue à l’incendie. J’avais trouvé des tests prouvant que mes parents adoptifs étaient en faite mes vrais parents. Ma mère m’avait fait une lettre sans doute parce qu’elle n’aurait jamais pu aligner deux mots sans fondre en larmes devant sa fille retrouvé. La lettre disait :

Lettre trop grosse en largeur je peux pas la mettre là :S

C’est le seul mot qui m’avait décidé à partir parce que je ne croyais pas ma mère mais parce que j’avais tué ma véritable famille.
J’habitais jusque là à Paris en France mais comme je parlais assez bien anglais j’avais décidé de partir pour New-York. Je suis partie sans laisser d’adresse, j’avais aucune raison de laisser quelque chose, j’avais détruit ma vie. Enfin quand j’étais arrivé en Amérique j’avais 18 ans, j’arrivais à dissimulé mon accent français. J’avais changé de nom j’étais passé de Katharina Parker à Kara tout cour, bien sur je m’appelais toujours Parker mais personne ne me le demandait alors je ne le disais pas. Un soir j’étais en boite et Warren Jackson est venue me voir au début je ne pensais pas qu’il était sérieux, mais Warren est un producteur et il m’à découvert dans un bar où je chantais à ce moment-là. Il m’avait présenté à son associé une danseuse très gentille, Bianca Evans. J’ai sympathisé. Bianca et Warren était ma nouvelle famille. J’ai rencontré mes deux meilleurs amis pendant l’écriture de mon album. Ils étaient là pour une interview musicale pour leur université. Depuis on ne s’est jamais quitté. J’ai vraiment dépassé toute ces bêtises sauf que personne à New-York ne connais Katharina Parker, la petite française ayant tué toute sa famille, non ils connaissent plutôt Kara Parker, la fille que Warren à découvert. Cela me va parfaitement car je n’ai pas l’intention de tout avouer à ma nouvelle famille. Plus tars mon album est sortie et il a fait un véritable carton. Tout un album à la guitare, en acoustique. Ce disque s’appelle My Soul et il parle de mon passé, je n’ai fait que des allusions furtive aux choses importante mais cet album était une très bonne façon pour moi de passé à autre chose sans tout oublier. J’avais 19 ans quand mon album est sorti. Peu de temps après ma tournée j’ai rencontré mon présent petit ami, je l’aime plus que tout, il est le seul (enfin je pense) à connaitre mon histoire. On s’est rencontré sur la terrasse d’un bar. Je l’aime plus que tout. Je suis sur l’écriture de mon second album et j’ai bien l’intention de refaire un carton !

Ma vie va mieux, j’ai des amis, des ennemis, personne ne connais mon ancien moi sauf Zachary mais j’ai confiance en lui. La vie me réserve peut-être encore plein de surprises mais je suis sur que ça ne peut pas être pire. J’ai enfin enterré Katharina Parker, et Kara Parker elle est arrivée au point où sa carrière musicale est la meilleure. J’aurais quand même vraiment voulue que toute ma famille et Tom soit là pour mon ascension mais bon la seule chose que je peux souhaiter maintenant c’est que personne ne découvre ma véritable histoire.